A partir du moment où une victime déclare, officiellement et publiquement, qu'elle a pardonné, nous devons, si ce n'est pardonné - car nous n'avons rien à pardonné - du moins, fermer nos gueules.
Plus ça parle, plus je me dis que nous nous préoccupons de la victime si, et seulement si, nous pouvons cracher sur quelqu'un.
Nous pouvons dire ce que nous voulons : On ne défend jamais personne, on attaque toujours quelqu'un.
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