Non. C'est l'abus de pouvoir, au sens propre. C'est s'autoriser à se situer au dessus (de la loi), donc au dessus des autres (ce qui pose un petit problème, puisqu'alors on accepte implicitement d'accorder ce droit à un autre et ainsi de suite... et on connaît la chanson, il suffit de regarder le monde tourner) donc NON. mais bon, enfin, quoi, c'est bien sûr, alors, bref, soit...
1) J'ai déjà raclé la paroi pour arracher les mots. 2) Je vois bien la logique de ta sentence, abstraitement, elle se défend, dessine une ligne que l'on a envie de franchir avec toi. La liberté semble promise à celui qui passe par dessus mais la grammaire fait des promesses que l'homme ne peut tenir. 3) Chaque pas tenté vers la clarté obscurcit le sens de ma marche, je sais, c'est pourquoi je me tais, en général. 4) Bon, ben, voilà, hum, bof.
Ah non ! Pourquoi tu retournes la moitié de ta veste ? Ton 'non' était catégorique et maintenant c'est "t'as tort mais bon pas tant que ça enfin si mais c'est discutable etc"
Ta sentence souffre bien d'un problème grammatical. Toutes les affirmations de ce genre souffrent du même mal. On ne peut situer leur origine. D'où viendrait cette vérité ? Le mode impersonnel ne vaut rien à l'homme. Chaque vérité se conjugue à la première personne et ne vaut que l'espace de l'instant. Oui. Voilà. Pour l'instant...
Une affirmation 'impersonnelle' ? Il faut obligatoirement mettre un "je" pour un avis personnel. Ou un sujet animé pour que le cerveau humain comprenne ?
7 commentaires:
Non. C'est l'abus de pouvoir, au sens propre. C'est s'autoriser à se situer au dessus (de la loi), donc au dessus des autres (ce qui pose un petit problème, puisqu'alors on accepte implicitement d'accorder ce droit à un autre et ainsi de suite... et on connaît la chanson, il suffit de regarder le monde tourner) donc NON. mais bon, enfin, quoi, c'est bien sûr, alors, bref, soit...
Tu pourrais développer, argumenter et si possible avec des exemples et dans un langage plus "scolaire" ? ;)
1) J'ai déjà raclé la paroi pour arracher les mots.
2) Je vois bien la logique de ta sentence, abstraitement, elle se défend, dessine une ligne que l'on a envie de franchir avec toi. La liberté semble promise à celui qui passe par dessus mais la grammaire fait des promesses que l'homme ne peut tenir.
3) Chaque pas tenté vers la clarté obscurcit le sens de ma marche, je sais, c'est pourquoi je me tais, en général.
4) Bon, ben, voilà, hum, bof.
Ah non ! Pourquoi tu retournes la moitié de ta veste ? Ton 'non' était catégorique et maintenant c'est "t'as tort mais bon pas tant que ça enfin si mais c'est discutable etc"
C'est le propre de l'homme, cette instabilite. La pensee l'encourage et le langage lui donne meme des vertus.
Ta sentence souffre bien d'un problème grammatical. Toutes les affirmations de ce genre souffrent du même mal. On ne peut situer leur origine. D'où viendrait cette vérité ? Le mode impersonnel ne vaut rien à l'homme. Chaque vérité se conjugue à la première personne et ne vaut que l'espace de l'instant. Oui. Voilà. Pour l'instant...
Un problème grammatical ? (tu me cherches !)
Une affirmation 'impersonnelle' ?
Il faut obligatoirement mettre un "je" pour un avis personnel. Ou un sujet animé pour que le cerveau humain comprenne ?
Enregistrer un commentaire